Dante

Vous :

Prénom : Je préfère ne pas le dire. [EDIT] Nan je ne le dirai pas...
Âge : 16 ans
Loisirs : Théâtre, lecture et chant
Autres : [EDIT]Selenÿa tu as raison... VIVE TARA DUNCAN !! Tara Duncan c'est pas du shampoing, c'est pas du 4 en 1 !!




Nom : De Fermont
Prénom : Il s'appelle Dante.
Âge : Cet homme a 34 ans, malgré les apparences.
Race : C'est un sorcelier (Désolé mais je préfère ce terme.)
Situation : Surveillant dans le pensionnat.
Pouvoirs : Bien que je sais que la limite est de deux pouvoirs, je ne peux vous dire exactement lesquels étant donné qu'il lie les sorts. D'où le "sorcelier", "Ceux qui savent lier les sorts". Il peut donc lancer des levitus - permettant de faire léviter un corps -, incarner des élémentaires et d'autre choses.
Physique : Des cheveux couleur ébène tombent devant ses yeux saphir. Sa peau, particulièrement pâle pour un homme normal, peut prêter à confusion. Ne sortant exclusivement la nuit et s'habillant de cuir noir, généralement un justaucorps et un pantalon surmonté de newrocks cachés la plus part du temps par un blouson tout aussi de cuir, on pourrait le prendre pour un vampyr (là aussi je préfère ce terme), mais ce n'est pas le cas. Mesurant près d'un mètre quatre-vingt treize pour soixante-neuf kilos on pourrait le prendre pour une jeune homme de vingt-quatre ans.Il a toujours sur lui un katana mesurant plus d'un mètre cinquante.
Histoire :

-Hôpital privé, chambre 107, Naissance de Jumeaux.
Chose rare dans le monde, je naissais. Ou plutôt, nous naissions. Moi et lui. Lui. Mon très cher frère. Pour tout dire, je ne l’ai jamais vu. Pas une fois. Même pas entre aperçus. Juste entendu, entendu ce cri affreux d’un bébé à la naissance. Ce cri de douleur. Ce cri de vie. Ce cri qui soulage les parents. Ce cri que je ne poussai pas.

La lumière m’enveloppait. Une douce torpeur m’envahit. Mes yeux ne s’ouvraient pas. J’inspirai une grosse bouffée d’air. Mes poumons semblèrent éclater tant la douleur était atroce, ma gorge me brûlait. La douleur allait me tuer. Mais cela passa. Je ne dis rien. Rien. Pas un son ne sortit de ma bouche. Un coup sur mon dos. J’étais fatigué. Un cri horrible se fit entendre à mes oreilles. Je ne compris pas. De l’agitation, il y en avait tant autour de moi.



Un silence. Ça voulait dire quoi physionomie ? J’en savais rien. Mais ma mère me serra contre moi. Soudain, le noir ce fit autour de moi. Un homme entra, hurla. Ma mère pleurait. Les cris de l’autre moi s’éloignèrent. Les cris de Shin. Moi je me taisais, blottis dans les bras de ma mère.



Quelqu’un me souleva et m’emmena loin, très loin des hurlements. Ce fut mon dernier souvenir de mon frère. Frère…

-Rue de la paix, ruelle sinistre, poubelle de l’hôpital.

« Hé ! Tu vas vraiment jeter ce gamin ? »

« La vieille folle m’a dit de le protéger, elle se croit où ? Il va crever ! »

« Tu vois pas qu’il bouge encore ?! Passe-le-moi, je vais m’en occuper. »

« … Ok. »

Résigné, l'homme tendit le paquet tremblotant à l'autre homme. Grand, d'une carrure forte et grossière, l'homme de ménage attrapa délicatement le corps du gamin. Le gamin, c'était moi. Juste moi. A ma naissance.
Tremblotant, je gelai sur place. Quels étaient ces deux personnages ? Et j’avais faim ! Si faim. Et j’étais fatigué. Si fatigué… Je fermai les yeux me laissai ballotter dans les bras de quelqu’un.

-Quinze ans plus tard, France, Marquisat des de Fermont.
Comment ? Ça doit être la question qui vous brûle les lèvres. Comment de poubelle je me suis retrouvé à un marquisat Français ? Grâce à cet homme. Il s’appelait John. Il me ramena à ma mère. Celle ci me prit avec elle et me protégea, m’élevant caché dans un immeuble, coupé du monde. Mon monde c’était cet immeuble, cette bâtisse sale, répugnante et poisseuse. Elle partait et me laissait seul parfois des jours entiers. Puis lorsqu’elle revenait, elle pleurait.

Vivant seul, livré à moi même dans un monde vil et obscure, ma personnalité joyeuse s’effaça peu à peu. Il fallait que je sois fort. Mes combats commencèrent alors. Et je devint un as du combat au corps à corps. M’étant fait respecté, j’appris à vivre seul et je m’enferma dans un mutisme forcé. Parler trop était dangereux. Malgré les cadeaux et l’amour forcé dont me couvait ma mère, cela ne faisait que m’enfoncer d’avantage. Dans ce monde de noirceur sans lumière. Ce monde de ténèbres. Mon monde.

Mais un jour, elle revint souriante. J’avais 10 ans. Et elle allait se marier avec un riche diplomate français. Il s’appelait Maxwell. Cet homme c’est mon père. Adoptif tout du moins. Ainsi me voilà. Devant vous, jouant dans l’herbe avec une poupée cheval, une fleur dans les cheveux. Un visage innocent et des traits angéliques. Angélique… Ouais, c’est tout moi. Je suis angélique. Je suis aussi pour, aussi naïf, aussi stupide qu’un Ange. Et surtout, j’ai un cœur aussi gros que les Anges. Mais les Anges ont-ils des cœurs ?De toutes les manières, je commençais à être fatigué. Fatigué de tout ce que j’avais, puisque j’avais tout. Fatigué de ma vie, de mes proches. Je voulais connaître le monde.



Ma mère arriva. Dans sa longue robe blanche, le teint légèrement hâlé, les cheveux blonds et les yeux verts, j’étais son strict contraire. Je devais hériter de mon père. Elle me sourit. Je l’ignorais. Elle me tendit une main et en redressant je l’attrapa de mes pâles petits doigts chétifs. Elle me prit dans ses bras. Je ne dis rien. Je ne fis rien. Pour elle, je n’étais pas un être vivant. Je n’étais pas moi. J’étais l’autre. L’autre qu’elle regrettait. Puisqu’elle m’appelait Shin. Elle était folle, elle était détruite par le chagrin. Et je ne pouvais rien faire, a part me faire passer pour cet autre moi. Cet autre moi que je connaissais même pas.

- Quatre ans plus tard, Japon, Demeure des de Fermont.



Je me traînai dans les couloirs. Bien que mon pays natal soit le Japon, je détestai la langue et lui pays lui-même. Une réunion. Nous n’allions être que tous les deux pour parler d’un sujet important. Je ne savais même pas ce que c’était. Mais obéissant aux ordres de mon paternel je me dirigeai vers le bureau de mon père adoptif, Maxwell.

« Me voilà père »

« Entre et assieds toi. »

J’obéis.



Frère ? J’avais un frère ? Frère… C’était tellement étrange ce que la sonorité de ce mot pouvait m’évoquer. Même si je m’en doutais très fortement, le fait de le savoir noir sur blanc m’évoquait autre chose.



Shin… J’allais enfin le voir ! Enfin ! Lui, mon idéal.
Lui, mon autre moi.

- Sur la route menant à Ellandril

Il devait être dans les 7h00 du soir, il faisait froid et la neige tombait à petit flocon, doucement. J'étais en voiture, et pendant que je roulais, je vis des camion de pompier me dépasser. Je me dis alors que c'était bien dommage pour les personnes concerné, mais lorsque j'arrivai devant chez lui, chez mon frère... Les personne concernés n'étaient autre que lui. Ce soir là...Au milieu des flocon de neige, un grand feu brûlait, c'était la maison de son frère.

Cette nuit là...Fut la nuit où je perdis tout. J'errai durant des années sans but précis, sans motivations, jusqu'à ce que vois cette annonce. Cette annonce qui me donnait une chance de trouver un loyer et un travail. Sans hésitation je partis dans le pansoinnat où ils cherchaient un surveillant. Grâce à mes talents de sorcelier je fut pris.

Familier :

Aucun. Il n'a pas encore été choisi.

Elle n'était pas fini tout à l'heure ^^


[De quoi on dirait trop toi ?]

^^ Pas grave.

Bon je dis toujours pas mon prénom mais vous aurez un détail grâce à Abi.. Je suis un mec.

Bon, j'ai full oublier de te souhaiter la bienvenue, alors bienvenue in the folie sur ce forum, et passe du bon temps

slt et bienvenue,entre manieur de sabre on se comprend, même si tu n'est que surveillants^^ mdr

Nan Charlotte tu ne m'entendras pas chanter >. < MOUAHAHAHA *Rire diabolique*

Merci à vous pour ces messages de bienvenue ^^